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Asphalte 94

24 heures : maintenir la dynamique des championnats d’Europe

Au deuxième rang, de gauche à droite : Raphaël Gérardin, Patrick Ruiz, Guillaume Laroche, Jean-François Pontier (manager), le médecin, Piero Lattarico, Jean-Philippe Brunon, Stéphane Ruel. A premier rang : Nathalie Derault, Valérie Vallon, Nathalie Zimmer, Emmanuel Fontaine (entraineur), Frédéric Barreda (entraîneur), Sylvie Peuch, Christine Zanconato-Bianchi, Karine Zeimer. Absents : Anne-Marie Vernet et Ludovic Dilmi. Photo T.S.

Au deuxième rang, de gauche à droite : Raphaël Gérardin, Patrick Ruiz, Guillaume Laroche, Jean-François Pontier (manager), le médecin, Piero Lattarico, Jean-Philippe Brunon, Stéphane Ruel. A premier rang : Nathalie Derault, Valérie Vallon, Nathalie Zimmer, Emmanuel Fontaine (entraineur), Frédéric Barreda (entraîneur), Sylvie Peuch, Christine Zanconato-Bianchi, Karine Zeimer. Absents : Anne-Marie Vernet et Ludovic Dilmi. Photo T.S.

« On a plus que rempli nos objectifs lors des championnats d’Europe à Albi ». Frédéric Barreda et Emmanuel Fontaine, les entraîneurs de l’équipe de France des 24 heures, en stage cette semaine à Andrézieux-Bouthéon en vue des championnats du monde à Belfast le premier week-end de Juillet, veulent surfer sur cette belle dynamique. Avec la médaille de bronze individuelle de Stéphane Ruel, l’or par équipe chez les garçons et le bronze pour les filles, la compétition organisée en octobre sur le sol national a permis de « redorer le blason de l’équipe de France ».

Une récompense pour ce groupe « soudé et motivé » au sein duquel on retrouve l’athlète du Coquelicot 42 Pascal Ruiz, « une super révélation l’an dernier », après son titre de champion de France et l’or collectif européen sur le circuit tarnais.

Jeudi, il sera rejoint par l’inusable Anne-Marie Vernet (Velay athlétisme), figure emblématique des Bleues depuis l’année de son titre de championne du monde en 2008 – comme Sylvie Peuch d’ailleurs – que le staff est parvenu, à force de persuasion, à la faire revenir sur sa décision de mettre un terme à sa carrière. « On est confiant, personne n’est arrivé blessé au stage comme cela a pu être le cas par le passé », se réjouissent les coachs. Lesquels se méfient des Etats-Unis et du Japon, deux nations capables de leur barrer la route sur ce double tour d’horloge, en plus de leurs habituels rivaux continentaux.

 

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D
Allez Valérie : On est tous derrière toi et on y croit !
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